L’industrialisation du développement logiciel nécessite un certain formalisme et donc la mise en œuvre d’une méthodologie adaptée et évolutive. Outre la rédaction d’un plan d’assurance qualité (PAQ), voici les principales méthodes sur lesquelles nous nous appuyons :

Avant de proposer des axes d’amélioration nous aidons nos clients à définir précisément leur niveau de maturité par rapport aux tests et à la qualité logiciel. Suivant le résultat de cet audit, nous sommes en mesure de définir des objectifs d’amélioration ainsi que des moyens adaptés pour y parvenir.

TMMi

Une des méthodes que nous utilisons est la méthode TMMi (Test Maturity Model). La méthode TMMi est basée sur l’approche CMMi mais détaille plus particulièrement la gestion des process de test au sein du service R&D de l’entreprise. 5 niveaux de maturité sont définis.

TPI

Le modèle TPI est une autre approche, fondé sur l’état de l’art en matière d’amélioration des processus de test. Le modèle définit des modalités pratiques d’évaluation du niveau de maturité des tests dans une organisation et d’amélioration progressive des processus. Le modèle est un standard international pour l’amélioration des processus de test. On utilise fréquemment le modèle dans les organisations qui veulent atteindre le niveau 3 de CMM (Capacity Maturity Model ou modèle d’évolution des capacités logiciel) en matière de tests.

Le modèle comprend 20 secteurs-clés. Chaque secteur-clés a plusieurs niveaux de maturité. On représente tous ces niveaux dans une matrice de maturité. À chaque niveau sont attachés des points de contrôle. Le modèle comprend également des suggestions d’amélioration pour atteindre un certain niveau.

Le retour d’expérience des consultants d’ALL4TEST nous permet également d’adapter ces méthodes aux contraintes des PME afin de leur permettre d’initialiser cette approche qualité d’une manière moins contraignante et plus rapide.

CMMI

Le CMM est un référentiel de pratiques clés à mettre en oeuvre pour l’entreprise qui développe des logiciels. Son objectif est de la guider dans sa démarche d’amélioration des processus. En raison de l’adhésion croissante dont il fait l’objet, le « Capability Maturity Model » est devenu une référence.

Par la suite le CMMi a été intronisé comme successeur du CMM. Il couvre un domaine plus vaste que ce dernier. Au développement logiciel s’adjoignent d’autres secteurs, notamment l’ingénierie des systèmes et l’acquisition de logiciels.